Les rh en entreprises
Aller chercher des avantages économiques
Souvent sous pression du marché(ex: industrie du textile)
Faire face à la mondialisation de la concurrence
Pour rivaliser à armes égales avec les concurrents des autres pays
Avoir accès à de nouveaux marchés
Éliminer des barrières douanières et profiter de zones de coopération économique (ex : ALENA, Union Européenne, ASEAN, etc.)
Accéder à des nouvelles technologies ou de nouvelles connaissances
Impacts de la délocalisation sur l’emploi
Aux États-Unis, 314000 emplois manufacturiers ont été perdus entre 2000 et 2003 en raison du commerce international[1]
Note: Les pertes d’emploi ont été principalement causées par la chute des exportations et non par une hausse des importations
En Europe, moins de 5 pertes d’emploi sur 100 peut être imputées aux délocalisations, très loin derrière les faillites, fermetures ou restructurations internes[2]
91 000 emplois québécois et 395 000 emplois canadiens seraient menacés par les délocalisations[3]
Illustration des conséquences sur l’emploi manufacturier :
Avant
Après
Perte nette d’emplois (non systématique, mais globalement vérifié)
Hausse des emplois à valeur ajoutée moyenne ou forte (études, ingénierie, design, etc.)Bien que les chiffres soient discutables (et discutés), la délocalisation des productions manufacturières vers l’étranger a un impact globalement négatif sur le nombre d’emplois. Toutefois, ce phénomène génère des créations d’emplois, à plus forte valeur ajoutée que les emplois perdus. Baisse des emplois à valeur ajoutée faible (manoeuvres, couturières, etc.)
Les conséquences macro-économiques
Intégration au commerce mondial de l’économie globalement profitable
Les entreprises se spécialisent, localement, sur leurs compétences clés, ou tentent de se moderniser et d’innover
Cette mise en application de la théorie des avantages comparatifs, édictée par David Ricardo, pousse certes à l’abandon de