Tout d'abord, les opérations de rénovations urbaines permettent de réduire les inégalités entre les communes grâce à l'article 72.2 de la constitution qui impose au législateur de "favoriser l'égalité entre les collectivités territoriales par la péréquation" et le financement de l'agence nationale pour la révolution urbaine. De plus, les intercommunalités se financent par les taxes et les impôts (taxe foncière). Par exemple, les communes de la Martinique sont inégalement riches. Cette inégalité est dû à un revenu médian différent de régions en régions. Ensuite, la politique de solidarité des intercommunalités permet de réduire ces inégalités ( comme pour la Martinique). En effet, on assiste à un regroupement de revenus et de taxes, en revanche, ces inégalités ne se sont pas intégralement effacées: il en reste toujours entre régions. En cas contraire, Montpellier agglomération reçoit un revenu médian inférieur à celui de Montpellier périphérie grâce aux régions agricoles. Pour finir, Alain Marleix appelle à une citoyenneté intercommunales beaucoup plus large qui rationalise les dépenses mais aussi, les projets qui seront beaucoup plus large et qui peuvent aboutir à une véritables citoyenneté intercommunales. D'importantes questions se pose toujours qui sont des obstacles à la solidarité intercommunales:
- Comment faire comprendre l'intérêt de projet communautaire?
- Comment faire comprendre aux élus et aux agents municipaux de l'intérêt commun de ces politiques communautaire ?
En quoi consiste les enjeux et la collecte des traitements ménagers ?
Pour débuter, les enjeux du traitement des déchets ménagers devront répondre à plusieurs critères qui sont les piliers du développement durable, en effet il est question des enjeux environnemental, économique et sociétal. Le syndicat intercommunal pour la revalorisation et l'élimination des déchets et des ordures ménagers (Siredom) est un bon