les similitude morphologique et anatomique chez les êtres vivants
Rappel sur les ponts communs entre les êtres vivants.
Page 18, doc 2 : Tous les êtres vivants sont constitués de cellules (animaux-végétaux)
, doc 1 : Tous les êtres vivants portent une information génétique. Les protéines se forment à partir des gènes, expression des gènes (traduction).
Les êtres vivants possèdent des points communs ente eux, on peut donc supposer qu’ils ont une origine commune.
Les êtres vivants partagent des propriétés communes (structure cellulaire, ADN, modalités de la réplication et de l’expression des gènes, code génétique). Ces propriétés traduisent une origine commune.
Comment - peut – on établir les relations de parenté entre les êtres vivants ?
Chapitre I : Recherches de parenté chez les vertébrés : l’établissement des phylogénies :
Depuis quelques années, on utilise la classification phylogénétique. C'est-à-dire une classification traduisant des relations de parenté (qui est proche de qui). Elle est différente de la classification traditionnelle basée sur les données morphologiques, anatomiques, physiologiques, écologiques… (qui descend de qui).
L’évolution des êtres vivants n’est pas linéaire. Il y a rupture et des sauts évolutifs. Pour établir la classification phylogénétique, on utilise des données macroscopiques (morphologiques, anatomiques, embryologiques) et des données moléculaires (chromosomes, protéines, …).
I/ Recherche des relations de parenté chez les vertébrés en utilisant les données macroscopiques :
Pour établir des liens de parentés entre les organismes, on compare des similitudes morphologiques, anatomiques et/ou embryologiques entre les différentes espèces de vertébrés en ne prenant en compte que les caractères homologues. A/ Etablissement de parenté à partir des caractères morphologiques et anatomiques :
Caractère morphologique : organisation externe du corps
Caractère anatomique : organisation interne du corps