Les animaux de Brodeck, Philippe Claudel, Philippe Claudel, philippe
On remarque alors la comparaison que fait le narrateur entre Orshwir et ses porcs : « sa face barbouillée de gros traits », « des miettes de pain ornaient sa moutache », « lèvres gar[ant] encore un peu de la luisance que le gras du lard y avait déposée. …afficher plus de contenu…
Le troupeau compte sur moi pour éloigner tous les dangers ». Les Göbbler : Les deux Göbbler (le mari et le femme) possèdent un poulailler et Brodeck les compare à un coq (pour Göbbler) et à une poule (pour sa femme) même si il ne le metionne par directement : « Ses yeux bougent de la même façon, et la peau qui pend sous son cou lui dessine des rougeurs sanguines. Sa femme […] est grosse et bavarde. Elle sent le grain et l’oignon. »Wilhem Vurtenhau est lui comparé a un lapin à cause de sa tête. L’Anderer comme un chat qui chasse sa souris ou encore le curé Peiper est lui comparé a un aigle. Tous ces personnages comparés à des animaux sont animalisés et perdent donc une part de leur humanité. Parfois aussi, d’autres personnes sont comparés à des animaux que ce soit par le narrateur ou elles-même. II-La personnification