Les études non universitaire.
Sujet :
Les études supérieures non-universitaires sont souvent vues comme des études de relégation. Pourrait-on dire qu’être professeur d’éducation physique n’est plus devenu un choix mais un moyen d’obtenir un diplôme ?
A l’heure actuelle, pouvons-nous affirmer que le choix d’étude tel que professeur d’éducation physique en haute école plutôt qu’universitaire est un moyen d’obtenir plus facilement un diplôme ? Les étudiants sont-ils vraiment des mordus de sports ?
Si cela s’avère vrai, quelle est la différence par rapport au niveau d’exigence entre cette formation en haute école et celle universitaire ? On pourrait se demander si ce diplôme est réellement bradé, donné ?
Tout d’abord, on peut affirmer que la majorité des étudiants inscrits en éducation physique sont très souvent des sportifs amateurs qui pensent qu’il suffit d’aimer le sport pour pouvoir l’enseigner. Pour ceux qui l’on vécu, on peut remarquer et affirmer que la 1ère année de ces études a pour objectif de faire un tri sélectif entre les amoureux du sport et ceux qui, sont peut-être moins douer en sport mais, se donnent les moyens de réussir.
En effet, celui qui est vraiment doué dans les différents sports n’est pas forcement avantagé dans la réussite de son année.
Il est vrai que les qualités physique mais aussi le niveau théorique, tels que anatomie, physiologie, psychologie et bien d’autres encore, et les aspects pédagogique tels que les encadrements sont belle et bien les facteurs principaux dictant la réussite ou l’échec de ces études. L’image qu’on certaines personne du professeur d’éducation physique n’est pas très reluisante.
En effet, celui-ci est souvent associé à toutes sortes de clichés fondés pour certains et légendaires pour d’autres.
L’image du « prof. de gym » ayant perdu ses capacités physiques et qui se contente de donner un ballon et de regarder les élèves faire un match en