Lettre montrant que la littérature n'est pas toujours sombre.
Je vous écris au sujet de votre rubrique concernant la littérature dans votre magazine Le Figora. En effet, vous mettez perpétuellement en valeur la littérature sombre. Pourquoi devrions nous toujours entendre parler des cotés sombres de la société? Comme dans l’édition numéro cent-soixante-seize, vous faites l’éloge de L’assommoir d’Emile Zola, votre rédacteur fait l’éloge de ce roman qui parle d’alcoolisme et de violence. Il en est de même dans l’édition numéro cent-quatre-vingt-douze, tous les titres traités sont misogynes comme la nouvelle L’aveu de Guy de Maupassant , la prostitution dans Nana d’Emile Zola. Dans toutes ces histoires, on oubli le bonheur. Est-ce ci vain pour vous le bonheur? Pourquoi l’oublier, comme dans Le Père Goriot d’Honoré de Balzac, dont vous faites l’apologie dans l’édition numéro deux-cent-cinq, il se sacrifie son bonheur toute sa vie pour celui de ses filles, qui ne le lui rendent pas et Eugène de Rastignac, se vengera dans La Maison de Nucingen. Et en plus, pourquoi faut-il toujours qu’il soit question de fatalité, de destin? Comme dans l’édition du 10 mai 2011 où les louanges de la tragédie Antigone d’Anouilh et dans Horace de Corneille. La vie n’est pas comme dans ces livres où le désespoir, la peine, la douleur est omniprésente. La bonne littérature n’est pas seulement morose, les comédies aussi sont des bonnes choses. Pourquoi ne pas parler de choses facétieuses et joviales, elles ont leur importance aussi. Par exemple, les comédies de Molière ont fait rire la court du roi pendant des années. Il est possible de divertir un lecteur autrement que par catharsis, une œuvre peut être ludique aussi comme dans Les Fables de La Fontaine grâce aux animaux et aux morales. La littérature est un échappatoire, on peut y exprimer ses sentiments comme les romantiques, Victor Hugo ou Alphonse de Lamartine. Laissez la littérature sombre de coté et faites découvrir aux lecteurs de votre magazine d’autres types de romans,