Lettre a une passante
Le vicomte a demandé ma main à mon père . Notre mariage a été préparé, le seul membre de ma famille en dehors de mes parents a été ma tante Lison. Je fus heureuse.La nuit de noces a été un moment difficile pour moi, j’ai été apeuré en me donnant à mon mari, surprise et sans éprouver aucun plaisir. Quatre jours plus tard, nous sommes partis en voyage de noces en corse. Au début j’ai été assez distante ne comprenant pas et n’appreciant pas l’attirance physique de mon mari. J ai découvert par la suite le plaisir des sens et j’ai ressenti un véritable élan d’amour pour mon mari. J’ai été tout autant émerveillé par la beauté des …afficher plus de contenu…
Mon enfant surnommé Poulet a été surprotégé et élevé loin des contraintes sociales. Il a finit tout de même à l’âge de douze ans par rentrer en pensionnat dans un collège du Havre. Son absence m’a désespéré que j’ai cessé d’aller le voir. Ses résultats n’ont pas été brillant.Un jour j’ai reçu la visite d’un huissier qui est venu se faire régler des dettes que Julien avait contractées. Commençait alors une nouvelle période, le jeune homme a arrêté ses études, a eu une relation avec une femme et a accumulé les dettes. Le baron a mourut d’une attaque d’apoplexie. Quelques temps plus tard, ça a été au tour de tante Lison. J’ai été seule, je me suis effondrée au cimetière. J’ai été relevée, soignée par une femme que je ne reconnaissait pas dans un premier temps, il s’agissait de ma sœur de lait Rosalie.J’ai préparé mon déménagement, et j’ai quitté les lieux avec beaucoup de