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Les différents types d'obésité
Il n'existe pas une mais plusieurs formes d'obésité ! Car sous ce terme se cachent différentes définitions de la maladie qui ne traduisent pas les mêmes risques. Modérée, sévère, morbide… Un seul outil pour les différencier : l'indice de masse corporelle. Découvrez les dessous de la surcharge.
1. L’obésité modéré :
On ne parle pas d'obésité en jugeant les gens d'un seul coup d'oeil ou en les pesant ! Pour affirmer que le poids est problématique, les scientifiques ont défini un outil précis : l' indice de masse corporelle (IMC). Celui-ci est basé sur un calcul simple : le poids en kilos divisé par la taille en mètres élevée au carré. Si le résultat se situe entre 20 et 25, on considère que le poids est normal. Entre 25 et 30, c'est le surpoids : les kilos en trop commencent à devenir une menace pour la santé. On parle d'obésité proprement dite lorsque l'IMC se situe entre 30 et 35. Dans ce cas, les risques de maladie (hypertension, diabète, cancer…) deviennent très importants.
2. L'obésité sévère
Lorsque l'IMC franchit la barre des 35 mais reste sous celle des 40, on parle d'obésité sévère. Dans ce cas, les risques de développer des maladies du fait de son surpoids sont fortement augmentés. Il est impératif de perdre plusieurs kilos. D'ailleurs, ce n'est que pour un IMC au-delà de 35 que la chirurgie peut-être préconisée pour traiter l'obésité.
3. L'obésité morbide ou massive
Lorsque l'indice de masse corporelle dépasse 40, il s'agit d'une obésité morbide. Certains spécialistes distinguent même un stade supérieur, l'obésité massive, avec un IMC au-delà de 50. Il faut noter que ce problème est de plus en plus inquiétant en France : en 5 ans, le nombre d'obèses avec un IMC supérieur à 40 à doublé : 0,6 % de la population est aujourd'hui concernée.
4. Un problème de répartition
Indépendamment de l'indice de