Les libertés de la femme.

Mesdames, Messieurs. Amis de tous âges !

Je vous est réuni en ce jour de l’année 2010, soixante cinq années après ce que l’on peut appeler le plus grand droit pour la femme, le droit de vote. Faire le point sur ce qui a changé, ce qui a évolué pour permettre à la femme d’être enfin indépendante.

Souvent considérées comme inférieures, incapables de réflexions, de logique, de maturité, elles devaient se contenter de rester dans son foyer pour s’atteler au tâches ménagères et à l’éducation de ses enfants.
Malgré l’adaptation de lois, dans la réalité, en somme, les femmes ne sont pas égales sur les mêmes plans que l’homme. Elles sont encore relayées aux tâches les plus dégradantes pour la société actuelle (Femme de ménage, récurrence des toilettes …), moins bien payées, moins respectées dans le travail accompli, souvent victimes des méfaits de la société (chômage, précarité, placées au second plan, toujours derrière les hommes).
Elles sont aussi rarement placées dans des hauts postes à gouvernance, serait-ce une preuve de non confiance ? Sont-elles moins aptes que les homme à se faire entendre ?
En 1970, le 26 août un mouvement de grand ampleur est décidé, un groupement de femme se rassemble pour déposer une gerbe de fleur sur la tombe du soldat inconnu (ici la soldat inconnue) dénonçant le manque de reconnaissance vis-à-vis des femmes. Elles sont arrêtées par la police. Voici encore un des nombreux exemples que je pourrais vous citer et qui n’est pas si espacé dans le temps.
En 1983, La Ligue du Droit International des Femmes (LDIF) a été créée par des militantes des droits des femmes pour défendre le droit d’expression des conditions de vie de la femme. Cette association a pour but de dénoncer toutes les formes de discrimination et de persécutions sexistes ainsi que toute agression sexiste à l’encontre des femmes ou du sexe féminin. Grâce à ses actions, cette ligue fais fortement avancer les droits de la femme en plaidant