Liberté
Quand on parle de liberté, l’opinion commune consiste à penser que c’est le pouvoir de faire ce que je veux. La liberté serait donc le pouvoir de faire quelque chose ou le pouvoir de décider de quelque chose (de vouloir quelque chose). La première liberté serait appelée liberté extérieure et la deuxième liberté intérieure. Généralement, on pense qu’il n’y a pas de réelle liberté extérieure, comme si on ne pouvait pas faire ce que l’on voulait à cause d’obstacles, d’obligations… Mais du côté de la liberté intérieure, il semblerait que je puisse penser tout ce que je veux, qu’il y ait une totale liberté.
Dans la liberté extérieure, si j’avais la possibilité de faire tout ce que je veux, est ce que je le ferai ? C’est par les contraintes que l’on prend conscience de la liberté. Au fond, je suis assez content d’être contraint, ça me donne des limites et j’en retire des avantages. Soit je retiens l’idée que les contraintes me privent de faire ce que je veux, soit que ces contraintes favorisent au contraire mes libertés.
Du côté de la liberté intérieure : jusqu’où va cette liberté ? (on est toujours influencés par les mœurs, la mode…). Je pense que lorsque je veux quelque chose c’est une liberté, lais jusqu’où est ce moi qui veux ? Soit la liberté est absolue soit c’est une pure illusion.
La liberté est donc bien problématique. La liberté pourrait même me faire peur : les hommes ont en effet eu peur de sortir de la caverne.
Les contraintes de la nature peuvent me rendre des choses impossibles (corpulence, attributs…). Les contraintes politiques, elles, me rendent les choses interdites, mais on peut toujours transgresser l’interdit, à nos risques et périls.
J’aurai tendance à prendre tous les déterminismes comme une fatalité. Le déterminisme (tt ce qu’on fait a des conséquences) dit qu’a telle cause il y a tel effet, mais il y a quand même une forme de liberté car la connaissance des causes me permet d’avoir une liberté car je peux prévoir, et en ce