Limites du marketing ciblant les enfants
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Les mercaticiens grâce à de nombreuses stratégies parviennent parfaitement à atteindre la cible enfant. Cependant on peut émettre une critique importante, à propos de ces méthodes ; l’enfant devient un véritable objet de consommation dès le plus jeune âge. A cause de ces différentes stratégies l’enfant est plongé dans la société de consommation et est en quelques sortes conditionnés à consommer en grandissant. Donc on peut dire qu’elles ont un impact négatif pour le développement des enfants. Aujourd’hui on peut observer du marketing jusque dans les écoles. Jusqu’à maintenant ces lieux étaient fermés à toute les publicités et autres messages de consommation et se consacrés entièrement et pleinement à l’éducation des enfants, sans interventions extérieurs. Mais ce n’est plus le cas, en effet la publicité s’est infiltré dans les écoles. Les mercaticiens ont bien compris que ces lieux représentaient le meilleurs moyen d’atteindre leur cible puisque ils sont fréquentés la majeure partie de la semaine par les enfants. C’est donc un lieu stratégiquement idéal pour trouver une place dans l’esprit des enfants. Pour forcer les portes des établissements scolaires les entreprises proposent de l’argent, du matériel scolaire ou du matériel informatique. Ces produits étant relativement couteux, la proposition est très tentante. La publicité rentre dans les écoles :
· Par les enfants, par le biais de leurs habits ou de leur équipement scolaire. Ils sont aussi exposés à la publicité la sortie de l’école avec des distributions de tracts par exemple.
· Par les enseignants : de grandes marques proposent des supports nouveaux pour améliorer leurs cours gratuitement.
· Par les éditeurs scolaires : certaines marques ont insérer des publicités dans les manuels scolaire comme par exemple dans un manuel de lecture pour les CP- CE1 édité par Hachette éducation dans lequel on retrouve deux pages consacrées à l’emballage des « chocos » de Kellog’s.
· Par le ministère de l’éducation