Littérature/comparaison
On observe dans ces deux textes deux points de vue assez différent. On a d'abord celui de Jacques Cartier, explorateur français, qui parle du culte des autochtones et celui de Gabriel Sagard, homme de dieu, qui raconte une fête mortuaire indigène. La façon dont Cartier traite les indigènes est assez intolérante, en effet il parle d'eux comme des sortes de « sous hommes » sans le moindre développement technologique et culturel. Lorsqu'il parle de leurs culte et du fameux « Cudouagny » on a l'impression qu'il parle d'une sorte de rêve qu'un enfant aurais fait, on le voit par l'utilisation du mot « beau » à plusieurs reprises. Précisons qu'il veut initiés les indigènes a la religion chrétienne (qui est la seule selon lui). Peut être, au fond, veut il être lui même, ou du moins, la civilisation européenne, être considéré comme un dieu. Cartier ne se cache pas de se croire supérieur aux indigènes, sans doute a cause d'une éducation taillée par la religion chrétienne qui ferme, hélas, bien des portes Sagard quant à lui a une attitude positive et se fond dans la culture autochtone. Le fait de voir ce peuple vivre en communauté d'entraide et de partage lui met les idées en place et il remet en question sa propre religion et la société qu'il a connu jusqu'à lors. Il parle du culte mortuaire comme quelque chose qu'il n'a jamais vu avec une objectivité fascinante pour un homme de dieu. Il termine par une sorte de morale qui fait voir la vérité aux « bon chrétiens », qu'il se sont écarté du chemin de Dieu pour tomber dans l'hypocrisie et l'avarice. Comme quoi ce ne sont pas forcement les hommes de dieu les plus buté sur leurs idées, mais le fait qu'il soit aussi historien veut qu'il ai un attitude positive vu que la culture permet le façonnage de la