Lucien
Le thème de la mort est très bien illustré par l' hyperbole de la souffrance : « Il était pris dans un étau, broyé par les mâchoires féroces de quelque fléau. » ( l 6-7 ) met en valeur la douleur intense due à l'accouchement, nous remarquons aussi le discours direct « C'est la fin » ( l 8 et 15) nous dit que le personnage ici Lucien est sur le point de mourir, et métaphores « incapable de résister à ce flot qui le submergeait » ( l 10-11 ) cela nous montre que le personnage est au bord de l'asphyxie qui ne peut plus luter, « l'entraînant loin des rivages familiers […] de la tête au pieds » ( l 11-12). Il y a aussi le champ lexicale de la souffrance comme « infligée » ( l 8), « souffrance » ( l 10), « néant » (l 13), « C'est la fin » ( l 8 et 15), ceux-ci accentuent le côté tragique. Nous observons les synesthésies vers la fin du texte,« Une lumière intense l'aveugla. Ses poumons s'embrasèrent. Il poussa un cri. »( l 18-19) met en valeur la vue, le toucher et l'ouïe participent au registre tragique, souffrance et la mort. Ce thème met en relation la vie et la mort.
Le thème de la solitude est très bien distingué grâce au champ lexicale de l' angoisse, « sur lui-même » ( l 1), « bonheur égoïste » ( l 4), « Un sentiment de solitude » ( l 14), « seul » ( l 14), « en solitaire » ( l 16) favorise l'angoisse. Il y a aussi absence de personnage sauf à la fin, ce qui nous permet de savoir qui est seul à vivre le moment.
Le thème de la peur est très bien illustré par le discours indirect libre ici sous forme de question rhétorique: « Quel était ce mal qui lui fondait dessus? […] Quelle punition lui était donc infligée? « C'est la fin » se dit-il. » ( l 7) ceci exprime l'angoisse du personnage. Le champ lexicale de l'angoisse lui aussi illustre ce thèmes : « effrayait » ( l 12 ) , « musique abyssale » ( l 13 ), « fléau » ( l 7 ).Il y a aussi des répétitions sémantiques pour insister sur la peur du personnage car il ne sait pas où il va se