Lvmh stratégie
Le groupe a été crée en 1987 par son fondateur Mr Bernard Arnault. A cette même année, Moët -Hennessy et Louis Vuitton se rapprochent, et Mr Arnault acquiert 24 % du capital de LVMH.
Dès lors, le portefeuille du groupe s’accroit (acquisition des maisons de mode Christian Lacroix et Kenzo, acquisition de Séphora ou encore de Château d’Yquem). LVMH se présente alors comme une cascade d’holdings.
Le groupe réunie 5 secteurs d’activités qui sont les Vins et Spiritueux (18 % du chiffre d‘affaires), la Mode et Maroquinerie (33%), les Parfums et Cosmétiques (18%), les Montres et Joallerie (4%) ainsi que la Distribution sélective (25%). Aussi, le groupe exerce une autre activité, cependant moins importante, dans les médias et services aux entreprises.
L’article proposé s’interroge sur les clés du succès du groupe LVMH. Plus précisément, il explique les différentes stratégie de croissance du groupe.
Une stratégie de croissance externe
Les années 1990 marquent une stratégie de croissance externe du groupe entrainant le rachat d’autres sociétés, des fusions ou encore des achats de droits de propriété. L’objectif de cette stratégie est de s’internationaliser afin de devenir une marque mondiale.
Par ailleurs, la concurrence se développe entrainant l’apparition de nouveaux groupes mondiaux. Il y a alors la nécessité d’apports en capitaux extérieurs pour assurer la croissance des petites maisons, facilitant ainsi la stratégie d’acquisitions de grands groupe comme LVMH. La croissance américaine est un autre facteur favorable à la croissance économique du groupe, provoquant une certaine « démocratisation » du luxe.
LVMH soumit à de nombreuses critiques
A la fin des années 90, l’environnement économique est moins favorable (ralentissement économique, récession japonaise, baisse du dollar). La stratégie du Président Arnault est critiquée