1) La majorité du Tchad se trouve à une altitude de moins de 500m mais atteint 3414m avec l’Emi Koussi par exemple. Une partie du sud du Tchad est en zone inondable. Ce pays se trouve en zone chaude. Toute l’agriculture et la pêche se trouve au sud du Tchad où on y trouve du maïs, du manioc, du mils et sorghos, des zones de pêche, des bassins cotonnier et du riz. La majorité des grandes villes se trouvent au nord et au sud la densité est majoritairement supérieur à 5 habitants par kilomètre carré.

2) La population du Tchad n’a cessée d’augmenter ces dernières années avec une augmentation d’environ 9 millions d’habitants en 60 ans. Face à l’évolution de la population la production augmente avec un peu plus de 2000 tonnes de céréales produits et avec une importation d’environ 250 tonnes.

3) La famille Tchadienne est composée de Mustapha Abdallah Ishakh (46 ans) qui est le père de famille, Khadija Baradine (42 ans) qui est la mère et leurs 7 enfants : Halima (18 mois) ,Nafissa (6ans), Abdel Kerim(14 ans),Amna(12 ans),Fatna(3 ans),Amna Ishakh(9 ans),Rawda(5 ans). Cette famille comporte beaucoup plus d’enfants que la mienne. Cette famille nombreuse démontre bien le fait que le Tchad est en pleine augmentation au niveau de la population.

4) Une famille tchadienne dépense peu en nourriture (18,33$) par rapport à une famille française(environ 130e).L’argent va principalement dans les condiments et les fruits et légumes. Ils peuvent se payer très peu de viande, poissons, œufs contrairement à nous. Ils n’achètent ni produits laitiers(lait venant des vaches familiales),ni de céréales et racines(culture familiale).La cuisson se fait au feu de bois, il n’y a pas d’électricité. Leurs cultures et leurs élevages familiaux ne valent que 7,11$.

5) Si les précipitations sont insuffisantes ils n’auront ni de lait ni de céréales ce qui causerait une perte d’argent pour la famille et cela risque d’augmenter les prix à la vente des produits laitiers et des