Macroéconomie investissement
* L’école de Vienne : Elle réunit Menger et ses disciples directs ( F. von Wieser et Bawerk ) . C’est une école principalement littéraire et psychologique. Après le problème de l’utilité marginale, elle s’intéresse à la répartition de revenu et à la formation de capital. * L’école de Cambridge fondée par Alfred Marshall ( 1842-1924 ) en Angleterre avait des préoccupations essentiellement tournées vers l’équilibre partiel, c’est à dire la détermination du prix et des quantités d’équilibre pour un bien donné. Indépendamment de Marshall, Edgeworth, en Angleterre donne une version mathématique de la théorie néoclassique. * Après la révolution Keynésienne de 1936, l’école de Cambridge ne peut plus être considérée comme néoclassique. L’héritage néoclassique se poursuivra à Cambridge aux usa, du moins à travers les notions de capital et des productivités marginales développées par Samuelson.
L’école mathématique de Lausanne
Fondée par léon Walras, elle s’intéresse à l’équilibre générale . Son successeur Pareto complète le modèle par la théorie de l’optimum.
Cette théorie de l’optimum découle << du refus d’introduire toute mesure et par conséquent, de l’impossible comparaison des utilités interpersonnelles.
Une situation est optimale au sens de Pareto << lorsqu’il n’est plus possible d’améliorer la satisfaction d’un individu sans détériorer celle de l’autre >>.
L’optimum de Pareto deviendra un concept fondamental pour l’économie de bien être. La problématique de Walras et de Pareto, après avoir été longtemps négligée, constitue, depuis les années 1930, le noyau central de la science économique néoclassique dans le monde.
* C Les limites des analyses néoclassiques * Le reproche le plus courant adressé aux néoclassiques déononce le réductionniste de leur approche. Autrement dit << l’homme est réduit à ses deux seules fonctions de travailleur-consommateur >>