Madame bovary
Ce passage est tiré du Père Goriot, écrit par Balzac, auteur du XVIIème siècle. Cet extrait se situe tout au début du livre, lorsque l’auteur décrit la pension qui appartient à Madame de Vaucquert. Le thème principaux qui ressortent de ce livre sont la société, l’argent, Paris ainsi que la vieillesse. Nous allons plus précisément nous pencher sur la vieillesse, la pauvreté et la famine qui engendre un sentiment de pitié ce qui nous amènerait à la problématique suivante : la pitié à travers la pauvreté, la vieillesse et la famine .Nous va analyser ce passage tout d’ abord en montrant la pitié à travers la pauvreté et la famine puis, la vieillesse qui engendre une certaine pauvreté
Balzac nous montre tout au long du texte que la vieillesse engendre une certaine pauvreté.
En effet, il met l’accent sur la pauvreté en utilisant le champ lexical des vêtements : << chaussures (l.2), linge (l.4), vêtements (l.5), robe (i.6), dentelles (l.7)>>. Ces noms de vêtements sont accompagnés d’adjectifs péjoratifs qui provoquent un sentiment de pitié chez le lecteur. L’auteur utilise deux comparaisons :<< (l.2) Comme il s’en jette aux coins des bornes dans les quartiers élégants. (L.13) comme celle des écus démonétisés>>. Toutes deux expriment ce qui n’a pas de valeur. Ceci fait donc la vieillesse tout au long du passage.
Beaucoup de mots liés à la froideur comme << glacé (l.7), froide (l.11), blanc (l.30) >> font paraitre aussi la vieillesse. En effet, les personnes âgées sont inexpressives. Ceci peut être aussi mis en évidence par << les bouches flétries (l.13).
La vieillesse est notamment présente avec les différentes couleurs utilisées <<rousse (l.8), vert (l.20), blanc (l.30)>> qui montrent toutes, l’usage, en d’autres termes la vieillesse. Nous pouvons le voir aussi avec le champ lexical qui se réfère aux choses usagées :<< passées (l.6), reteinte (l.6), déteintes (l.6),