Stéphan Mallarmé 1842 Paris – 1898 Valvins (Seine et Marne) Spasme du larynx à 56 ans. État civil et liaisons amoureuses | Couche sociale et fréquentations | Influences subies | Vécus importants | Traits de son œuvre | Œuvre | Autres | 1863 Maria avec la jeune gouvernante Maria Gerhard à Londres.1864 naissance de sa fille Geneviève.1871 naissance de son fils Anatole qui décède en 1877. | Fils d’un père fonctionnaire.Difficultés financières.Milieux Parnassiens et symbolistes.Valéry, Gide, Claudel, Leconte de Lisle, Debussy, Manet, José Maria Heredia, Hugo, Zola, Wild. | Edgar Poe dont il traduit les poèmes en 1888.BaudelaireThéophile GautierThéodore de Banville. | À 10 ans, mort de sa mère.Pension dans établissement religieux.Professeur médiocre d’anglais (par nécessité et passion à Poe) à Tournon, Besançon, Avignon, Paris.Célébrité due à Verlaine dans Les poètes maudits 1884.1857 sa sœur décède.1886-1877 crise existentielle intense.1874 santé très fragile.A partir de 1877 réunions de mardi.1893 à la retraite, conférences sur la littérature. | Poésie à sens voilé.Langage enchevêtré.Plein d’ellipses, d’inversions, de parenthèses.Mots détournés de leur sens.Effets musicaux.Mépris d’un art trop facile.Hermétique.Refuse de nommer ou décrire l’objet.Vers libre.Construction d’un poème autour d’un symbole central.Rythme et vocabulaire peu communs, rares.Peindre non l’objet mais l’effet qu’il produit.Absence de signification qui signifie davantage. | Des poèmes parus dans des revues.Hommages et tombeaux 1877.Un coup de dés 1897.Poésies recueil 1887.Traduction des poèmes de Poe 1888.Les dieux antiques 1880.Divagations 1897. | Chef de file des symbolistes.