Marché des plats cuisinés
Un bilan en demi-teinte o Les plats cuisinés appertisés sont en peine
o Les plats cuisinés surgelés sont pénalisés par des linéaires peu avantageux
o Les achat en MMD et 1er prix se dont au détriment des marques nationales
o Les prix du frais sont encore trop élevés
o Le temps de réchauffement des produits surgelés est encore trop long
Des marques nationales affaiblies o Les micro-innovations ne marchant que pendant les plans publi-promotionnels et prix de vente trop élevés.
Il faut renouveler l’offre et se positionner sur des marchés porteurs (exotiques, allégé etc…)
Reconquérir la clientèle en jouant sur les petits prix o Une offre qui cible tous les budget (ex : Fleury Michon)
Une stratégie des « petits prix » payante ? o Pour les GSA les MDD génèrent des marges plus importantes que les marques nationales
o Attention à la surenchère qui peut se faire au dépens de la qualité et nuire à terme à l’image du marché.
o L’idéal serait une baisse des prix relative à une baisse des coûts de fabrication.
Economie d’échelle o Les rapprochements d’entreprises permettent une économie d’échelle ou à l’acquéreur de se diversifier. o Cependant les opportunités de rachats sont réduites sur le marché des plats cuisinés (cloisonnement des segments au niveau distribution et surtout fabrication rend difficile les rapprochements) o Ces contraintes pèsent principalement sur les PME o Solution : sous-traitance, les plats cuisinés s’y prêtent bien, source de gain de productivité.
Des pressions de plus en plus fortes pour l’accès aux linéaires o La surface des GSA est stable et les lancements de nouveaux produits foisonnent ce qui rend l’accès aux linéaires très concurrentiel. o Le degré de saturation du marché est important o De plus avec les MMD, les marques nationales pourraient voir leur surface d’exposition