Marivaux: jeu de l'amour et du hasard 1736 scene
Marivaux ,surtout connu pour ses pièces qui traitent de "la métaphysique du cœur", ce qu'on a appelé le marivaudage: le Jeu de l'amour et du hasard (1730), les Fausses confidences (1737). Il dit avoir "guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer", et chacune de ses comédies a pour objet de le faire sortir d'une de ses niches.
Dans le Jeu de l'amour et du hasard : Silvia s'est déguisé en Lisette sa servante pour examiner son prétendant Arlequin mais celui-ci a eu le même idée. Ici dans cette scène les deux valets qui portent les habilles de leur maitres se préparent a vouer leur vrai condition. Nous demandons en quoi cette scène de comédie se repose sur l'effet de décalage.
Premièrement nous allons étudié le marivaudage parodique et ensuite exploit de toute la palette des procèdes comiques.
Les sentiments sincère des valets sont contraintes par la préciosité a la quel leur rôle de maitre les oblige. Arlequin ne veut pas perdre celle qu'il aime en avouent sa condition sociale et Lisette attend l'aveu d'Arlequin.
Ici le marivaudage parodie les échanges de Dorante et Silvia les deux valets se vouvoient «votre amour» (l.15) jusqu'à dévoilement de leur identité qui déclenchant le tutoiement «ma gloire te pardonne» (l,35). Arlequin émet le langage galant file l'allégorie de l'amour l'orgueil décrit cupidon «d'une constitution bien robuste … la fatigue que je vais lui donner?» (l,12-13). Arlequin utilise plutôt des critères populaire malgré sa volonté d'être galant. Il utilise également la métaphore de l'imposture présente dans l'imagine de la «fausse monnaie» (l.15) et il s'invente militaire dans l'expression «soldat d'antichambre»(l.23) cela crée une distorsion humoristique et marque une infériorité sociale d'Arlequin malgré son effort.
D'autre part Lisette parait plus proche de sa maitresse qu'Arlequin de son maitre par