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Plan d'une université (réd. 1775). Il s'agit d'un plan idéal des études commandé par Catherine II. Transmis par l'intermédiaire de Grimm, elle semble ne jamais l'avoir lu, au grand regret de Diderot.
Lettre sur l'éducation des enfants à la princesse Nassau-Saarbruck, 1758.
Lettre à la comtesse de Forbach sur l'éducation des enfants (réd. vers 1772)
Réfutation d'Helvétius (réd. 1773-1778, Corr. 1783-1786)
Il aurait également contribué10 à la rédaction de De l'éducation publique, Dominique-François Rivard.
Politique [modifier]
Diderot s'est peu impliqué concrètement dans les débats politiques de son temps. Toutefois quelques œuvres rendent compte de sa philosophie politique. On peut les partager en deux groupes. D'une part les œuvres de commande et les contributions à l'œuvre d'autrui et d'autre part les textes strictement personnels qu'il rédige plutôt... à la fin de sa vie, à partir de 1770. Il se fera un devoir de partager ses idées avec Catherine II lors de son voyage à Saint-Pétersbourg.
Deux idées principales sont certainement le rejet du despotisme et le rôle de l'enseignement (non religieux) dans le bonheur et le développement de la société.
Diderot a également pris parti pour le développement du droit d'auteur11.
Sciences [modifier]
Diderot est également auteur ou co-auteur de quelques ouvrages scientifiques. En tant que matérialiste, la compréhension des phénomènes naturels est une préoccupation importante que l'on retrouve à travers toute son œuvre.
Bibliographie [modifier]
J. Mayer, Diderot : homme de sciences, Rennes, 1959.
Anne Masseran, La courtisane contre l'expérimentatrice : les images de la science dans les œuvres de Diderot.
Postérité et réception critique [modifier]
La réception de l'œuvre Diderot a une histoire particulière car l'image du philosophe a évolué avec le temps, au gré de la révélation progressive de son œuvre. Cette révélation progressive apparait clairement dans le tableau de synthèse de