Synthèse : Race et civilisation de Michel Leiris

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’Unesco commandite Michel Leiris pour lutter contre les préjugés raciaux ; C’est ainsi que sort son ouvrages « Race et civilisation ». L’auteur, tente ainsi de nous montrer la réelle définition de la notion de race pour ainsi lutter contre les invraisemblables dérives de l’Homme blanc.

Dans sa course a la colonie, l’homme blanc ne s’est que peu soucié de ses congénères, les réduisant ainsi a un statut de races inférieures, ne les comprenant par car celles-ci n’adoraient pas le même dieu, leurs semblaient barbares, impropres, …
Les vertus civilisatrices de l’homme blanc ont cependant amenées ces personnes a se développer, s’instruire arrivant ainsi au même niveau que la race blanche ; pouvant ainsi se voir reconnaitre un minimum droits civique voir même dans certains cas être jugées comme concurrentes ; c’est ainsi que sous conduite de la science l’homme blanc s’est arrangé pour justifier ce dogme racial.
La race blanche serait pourvu de qualité supérieures aux autres, la taille de son cerveau serait plus importante et par conséquent son intelligence ; la race pouvait être aussi synonyme de traits de caractère héréditaire comme la fainéantise, cependant c’est le milieu qui forge le caractère et non la race, il n’y a pas de gènes pour cela. Un enfant de couleurs blanche élevé dans une famille noire a toutes les chances de revêtir le model culturel de la famille dans laquelle il vit et par conséquent le caractère de cette famille. La méconnaissance du psychique a l’époque est une aubaine pour les théories racistes. La science aurait joué un rôle de propagande pour asseoir la volonté des dominants.
Il n’existe cependant pas de race pure, les évènements historiques ont permis à l’ensemble des habitants de la planète de se côtoyer, de se mélanger amenant ainsi à la naissance d’hybrides qu’il est impossible de classer selon le modèle raciale (caucasoïde race