TEXTE B: Michel Strogoff

Voilà trois long jour que je parcoure mon chemin afin de remettre la lettre, voilà trois jour que je suis sur la route d'Irkoutsk, voilà trois jours, que j'attendais se moment. Le premier jours, le climat me fut favorable. Mais depuis hier une tempête s'abat sur ces terres, mon voyage qui deviens de plus en plus long, aveuglé par la neige qui na cesse de tomber et mon cheval qui peinait à avancer sur cette épaisse couverture blanche qui recouvre le sol. Certes les conditions me sont défavorable mais, le climat me fus d'une grande aide. Comme l'avait prédit le Czar, je ne pu contourner les tartares mais par chance, ils n'eurent point l'envie d'affronter en même temps le climat et moi même. Mais cependant, il resta quelques courageux parmi ces lâche qui n'hésitèrent pas à endosser les armes afin de pouvoir récupérer la lettre. Une partie, armée d'arcs et de carquois remplit de flèches, se mirent à me viser. Tache qui fut impossible compte tenu de la mauvaise visibilité dû à la tempête de neige et à ma rapidité. Alors qu'ils pensaient que j'étais encore au loin, je brandi mon épée en bronze aigu et en quelque mouvement, les corps jonchaient le sol et le sang rouge des rebelles ruisselait dans la blancheur de la neige. L'autre partie brandi de longue javeline mais avant qu'ils ne puissent m'atteindre, mes flèches qui s'enfoncèrent dans leurs poitrines et leurs ôta leurs derniers souffles. Cette boucherie suffit à effrayer les autres qui se hâtaient de se mettre au plus vite or de mon chemin. Mais ce n'étais rien face à.. la neige m'empêchez de voir son visage, je ne pouvais qu'apercevoir une silhouette noir, immobile qui debout, m'attendez au loin. Recouvert d'une simple cape noir qui cachait tout son corps et d'une capuche qui me cachait son visage, il n'avait qu'une épée en main. Mais dans les siennes, même une simple dague pouvait être mortelle. Je me rapprochait lentement de lui et une fois a sa porter, il se découvris le visage. Un