Mise en relation Le meilleur des monde et Bienvenue à Gattaca
Alphas et beta = Valides (classe intellectuelle)
Autres = In-valides (classe ouvirère)
La hiérarichie sociale:
Le gouvernement s’assure d’augmenter les disparités pour être certain que les différentes classes ne se mélangent pas entre elles et d’installer aussi un climat psychologique à cet effet.
Dans les deux œuvres, on remarque beaucoup de points communs dans le système de la hiérarchie, surtout en ce qui concerne la génétique. Dans les deux cas, l’élite sociale est celle qui a la meilleure génétique, bien qu’une légère différence soit présente entre les deux. Dans Le meilleur des mondes, c’est principalement l’intelligence qui entre en compte, alors que dans Bienvenue à Gattaca, c’est toute la santé physique et mentale qui importe.
La manipulation génétique est donc la base absolue de ces deux dystopies, puisqu’elle est la fondation même de leur société. Sans la manipulation génétique, les différences entre les classes ne seraient pas si évidentes et le fossé entre elles serait bien moindre, ce qui pourrait amener à des rébellions de la part du peuple si certains d’entre eux pensaient avoir été mal classés.
La place de l'individu:
Dans Le meilleur des mondes, l’individu n’a pas vraiment sa place face à la science de la génétique. Un être humain n’est qu’un objet de plus, fabriqué dans une usine à bébé, où le seul Dieu existant est « Ford », un hommage à Henry Ford, inventeur de la production en série. L’individu n’existe pas. Tout est pour la collectivité.
Dans Bienvenue à Gattaca, l’individu perd aussi sa place face aux miracles que la science de la génétique peut