Mobiles de meurtres
Au cours de cette questions de corpus, nous allons étudié les textes suivant, Therese Raquin de Zola, Therese Desqueyroux dde Mauriac, Coup de gigot de Dahl et Quand Angèle fut seule de Métigeau. En deux parties nous allons montrer que les mobiles de ces textes sont variés, avec en premier lieu les mariages arrangés puis en quoi elles sont des femmes trompées.
Tout d'abord, on constate que les mobiles de Thèrese Raquin et Thèrese Desqueyroux sont liés. Ce sont des femmes qui n'ont pas choisi leur mari et qui souhaite reprendre leur liberté. En effet, elles sont toutes deux victime des mariages arrangés contre leur grès. Nous avons Thérèse Desqueyroux, qui sort "du jour étouffant de ses noces"(l.1) qui montre bien son malheur et son désir de fuir. Puis nous avons Thérèse Raquin, qui "jure" à son amant de lui appartenir, et avoue que ce n'est que pour lui qu'elle ne tremble. Ensuite, on peut voir leur mari respectifs sont présentés comme problématiques. On peut voir ça avec Camille qui vit toujours chez sa mère et qui"ne tarda pas à s'endormir" (l.33) ou bien avec Bernard qui est décrit comme un"garçon au regard désert".Ces descriptions nous montre bien à quelle point elles négligent leur mari et ne leur donne aucun côté positif. Enfin, on peut constater que ces femmes on des préméditations de meurtre, avec l'emploi des point de suspension chez Zola ainsi que l'évocation d'un accident qui pourrait les être le moyen pour arriver à leurs fins. Chez Mauriac, on ressent le même phénomène dans les lignes 28 à 30, où Thérèse parle dèjà de "dupe"(l.29), elle se moque de son mari en le comparant à un cochon. On comprend bien à ce moment là par l'emploi de l'humour ses intentions.
Ensuite, nous allons voir en quoi Angèle et Mary Maloney sont des femmes trompées. En premier lieu, on peut comprendre leur envie de meurtre par le fait qu'elles n'acceptent pas le fait que leur mari aille voir ailleurs. En