Modèle écologique femmes victimes de violence
Ontosystème :
1. En ce qui a trait aux facteurs de risques, il pourrait y avoir une femme ayant un handicap. Dans cette situation, elle serait plus vulnérable à subir de la violence en raison de plusieurs facteurs tels que la pauvreté ou la précarité, la dépendance à autrui, le manque d’accès à l’éducation, l’âge, les préjugés sociaux et les chalenges à l’égard du système policier et judiciaire. Donc, un agresseur aurait en quelque sorte plus de facilité à violenter cette personne sans qu’elle n’ose répliquer et il aurait même moins de chance que cela se sache : « par la complexité de leur situation et la crainte des répercussions négatives, une femme handicapée ne dénoncera pas automatiquement la violence qu’elle subit. » Cette situation de violence ne fait qu’augmenter avec le temps.
2. La religion est aussi considérée comme un facteur de risque puisque dans certaines croyances le patriarcat domine. Donc, ceci sous-entend que la femme est un être inférieur à l’homme, qu’elle est là pour intégrer la fonction de femme du logis, qu’elle doit élever les enfants, que c’est l’homme qui domine, qu’il est le pourvoyeur de la famille, etc. Tout ceci ramène a brimer les droits de la femme et de lui retirer toute son autonomie. De cette façon, l’homme exerce un réel pouvoir sur cette dernière et lui fait faire tout ce qu’il veut donc autant côté relationnelle que sexuel elle est là pour répondre au besoin de monsieur et n’a pas un mot à dire. Les musulmans, les juifs et les chrétiens sont des adeptes du patriarcat et font bien souvent de leur femme des victimes de violence conjugale.
Microsystème :
1. Pour ce qui est d’un facteur de risque dans le microsystème, il y a le fait qu’une femme ait un faible revenu. Cette malheureuse situation l’amènerait à dépendre de son mari ou de son conjoint : « Cela augmente évidemment leur degré de dépendance économique et décisionnelle vis-à-vis les hommes et limite leur capacité à participer pleinement à la