Molière les fourberies de scapin
En se plaignant et remuant le dos, comme s’il avait reçu les coups de bâton.
GÉRONTE, mettant la tête hors du sac : Ah ! Scapin, je n’en puis plus.
SCAPIN : Ah ! Monsieur, je suis tout moulu, et les épaules me font un mal épouvantable.
GÉRONTE : Comment ? c’est sur les miennes qu’il a frappé.
SCAPIN : Nenni, Monsieur, c’était sur mon dos qu’il frappait.
GÉRONTE : Que veux-tu dire ? J’ai bien senti les coups, et les sens bien