* La réciprocité amoureuse est mev v2 par la même construction syntaxique et la reprise du verbe «aime » sur l’ensemble du premier quatrain. * Cette union est suggérée par l’embrassement des rimes féminines et masculines au premier et deuxième quatrain * La répétition des mêmes mots associés à un rythme régulier dans l’alexandrin coupé à la césure suggère une évocation sereine de l’amour partagé. * Sentiment lisse et qui se dvlp dans une réciprocité paisible. * Cpt, la demande d’amour est plus forte que le don ce que suggère « m’aime » qui est employé 2 fois alors « j’aime » employé seulement 1 fois. * Désir d’amour associé a un besoin de compréhension, paralellement a « m’aime » on trouve « me comprend ». * Groupe verbal mev en fin de V4 et début V5 créant une anadiplose qui mep la demande d’un amour maternel a l’égard du perso féminin * Le changement de rythme du v5 annonce le drame qui devient plus élégiaque avec l’interjection « hélas » appuyé par l’allit [S] du mot « cesse » * Le po. oriente son texte vers l’idée de la souffrance perso que seule cette femme rêvée peut apaiser * L’exp. « transparent pour elle seule » marque le caract. de cette tendresse et l’anaphore « pour elle seule » sugg. la grandeur de la compassion féminine * La souffrance du poe. est extrême et trouve le paroxysme de son exp. au v7 * L’allit. en [m] renforcée par « problème » souligne les termes se rapportant a la maladie et a la fièvre * Seule la femme peut apporter un soulagement et l’adéquation entre les deux protago. est soulignée par « moiteur », « rafraîchir » placé à la même place au v7 et 8 * Les larmes de la femme mev par le gérondif « en pleurant » évoque le remède et la souffrance partagée * Cet amour subit une évolut°. La vision sereine s’opacifie dans le 2eme quatrain où la femme devient un archétype du féminin. Cpt. Cette image ne resta pas statique. Le perso. féminin va se présenter sous divers aspect. *