mon roman oklm
Un soir, dans les rues assourdissantes de la Nouvelle Orléans, où autour de moi hurlaient tout les instruments des musiciens qui montraient leurs talents à tout le quartier. Je me promenais en buvant un coup par si par là, quand soudain je m’arrêtais, je l’avait vu, une passante, elle était majestueuse et laissait un sentiment de perfection. Elle était longue, mince, habillée d’une robe noir. Elle venait, je la sentais passé la devant son doux parfum. Je bu un coup et la regarda encore agile comme une panthère, aussi noble qu’un lion. J’avais eu un coup de foudre pour cette femme, cette dame aux yeux bleus était l’incarnation de la beauté, la douceur le plaisir qui tue comme on disait. Je ne l’a connaissait que peu que déjà elle s’en alla déjà. Je la regardai avec une infime espérance quelle me lance ne serait-ce qu’un petit regard rien qu’un petit. Tout d’un coup elle se tourna. Mon cœur bâtait la chamade. Elle leva les yeux, balaya des yeux les alentours puis posa c’est yeux sur moi. J’étais crispé si nerveux et gêné que je fis tombé ma bouteille je me sentais bien, trop bien même, tout nouveau comme un phénix qui renaissait de ses cendres. Il aurait suffit d’’un seul regard de sa part pour que je sache que je l’aimai, que j’aimai cette femme que je ne connaissais pas. Cette inconnue passant que j’aimais, cette inconnue passante que je perdais déjà, pour l’éternité ? Je ne sais pas, je ne veux pas savoir. Dois-je lui courir après ou dois-je la laissé partir pour l’éternité, ailleurs, bien loin d’ici. La reverrais-je ? Un jour, ou jamais peut être.