CHAPTER 10 LE POUVOIR DE MARCE: MONOPOLE ET MONOPOSME
QUESTIONS
1. Lorsque le coût marginal est supérieur à la recette marginale, le coût de production de la dernière unité est plus grand que le revenu supplémentaire provenant de la vente de la dernière unité, de sorte que l'entreprise perd de l'argent sur cette unité. L'entreprise augmente les profits lorsqu’elle ne produit pas de nombreuses unités. Elle doit réduire la production, ce qui diminue le coût marginal et augmente la recette marginal, jusqu'à ce que le coût marginal soit égal à la recette marginal. La figure ci contre montre cette situation. L’entreprise produit une quantité Q’, ou Cm > Rm. L'entreprise doit réduire la production atteindre la quantité qui maximise le profit, Q *.
Prix

Cm P* P′

D

Q* Q′
Rm

Quantité

2.

L’équation 10.1 à la page 384 montre que le pourcentage de référence du prix par rapport au cout marginal est égal à l’inverse de l’élasticité prix de la demande

P − Cm 1 =− P Ed

Par conséquent, quand la demande devient plus élastique (Ed devient de plus en plus négative), le référentiel devient plus petit. Par exemple, si Ed passe, de -2 à -5, la marge diminue et passe de 0,5 (50%) à 0,2 (20 %). Cela nous indique que l'entreprise a moins de pouvoir pour fixer un prix supérieur au cout marginal lorsqu’elle est confronté à une demande plus élastique. Par conséquent, ce référentiel peut être considéré comme une mesure du pouvoir de monopole. 3. La décision de production du monopole de ne dépend pas seulement du coût marginal, mais aussi de la courbe de la demande. Les changements de la demande ne donnent pas des séries de prix et de quantités que nous pouvons identifier que la courbe d’offre. En revanche, des variations de la demande conduisent à des changements de prix, de la quantité, ou des deux. Ainsi, il n'y a pas de correspondance réciproque entre le prix et la quantité vendue, et par conséquent il n’y a pas de courbe d’offre en situation de monopole.

4.