La scène se passe dans le vestiaire des Jets de New York, autre haut lieu de toute la subtilité mâle, comme la plupart des vestiaires sportifs.

Complètement nu, un joueur s'approche de Jenny Kellner, journaliste au Daily News, et, pointant du doigt son vous-savez-quoi, lui demande:

--Hey, Jenny, tu sais c'est quoi, 'ça'?

--Oui, ça ressemble à un pénis, mais en plus petit.

Est bonne, est bonne, est bonne.

J'ai décidé de commencer ce billet en parlant de football, n'étant pas l'homme d'un seul sport, comme les diaboliques créateurs du Sportnographe. Mais assez parler de football, parlons maintenant de... de hockey, tiens!

On en écrit des choses!

Quand Canadien a entrepris son long voyage, on a écrit ('on' excluant la personne qui écrit) que ça allait être bon pour cimenter l'équipe, pour mieux se connaître. On n'avait pas prévu que Markov était vulnérable du talon, comme Achille. Pas Achille Talon! Achille de la mythologie grecque, héros de la guerre de Troie, mort au combat, une flèche dans le talon.

Quand l'équipe revenue, on a écrit (même règle pour le 'on') qu'il sera bon de retrouver la douceur du foyer et les habitudes quotidiennes pour les mariés ou sérieusement fiancés, les clubs de danseuses et bars branchés pour les autres. On verra selon les résultats. Sinon, certains spécialistes-amis trouveront bien d'autres excuses... pardon... explications.

Quelques constations

Avant même d'avoir disputé un seul match local, le Canadien avait établi un record: celui de jouer sur la plus courte avenue au monde. Deux coins de rue, de Peel à de la Montagne. Rue du Canadien-de-Montréal aurait été suffisant, même que c'est en fait un tronçon de rue.

Les Champs Elysées, ça c'est une avenue. De la Place de la Concorde à la Place Charles-de-Gaulle. Mais, eux-autres, y'ont pas de club de hockey.

* Incroyable, le nombre de beaux jeux et de buts marqués par le Canadien... dans les promotions de RDS. Science-fiction.

* Une fois son client