Le thème principal de la littérature du Moyen Âge est le chevalier. Dans chaque histoire il y a un chevalier, un idéal humain. Ce héros est décrit par plusieurs valeurs, comme la bravoure, le courage, la loyauté, la force, la générosité et la foi. Tout d’abord, dans «La chanson de Roland », le comte Roland est très croyant. C’est la caractéristique chevaleresque qui ressort le plus de ce texte. Il nous l’indique plus d’une fois en parlant de Dieu ou de certains saints, par exemple : « Dieu envoya son ange au Chérubin et saint Michel du Péril et avec eux vint saint Gabriel. Ils emportent l’âme du comte en paradis.». Ensuite, dans « Tristan » de thomas, ce qui révèle le plus les caractéristiques chevaleresques de Tristan, c’est la tristesse du peuple causé par sa mort. Dès la deuxième phrase, on s’aperçoit déjà qu’il y a quelque chose de triste et d’important qui est arrivé par « toutes ces lamentations dans la rue, les cloches des églises et des chapelles.». On voit que sa mort plonge tout le royaume dans une grande tristesse. De plus, le vieillard parle en son honneur en disant que Tristan était vaillant, noble, généreux, qu’il était le réconfort de tous les habitants et que le pays n’avais jamais connu aussi grand malheur que celui-ci (la mort de Tristan). Puis, dans «La vieille qui oint la paume au chevalier», ce qui indique la caractéristique chevaleresque, c’est le bon geste que le chevalier pose envers la vieille femme, malgré le comportement de celle-ci, qui prend au sens propre les paroles d’Hersant, c’est-à-dire de «graisser la paume» du chevalier. Bref, dans tous les textes du Moyen-âge, il y a toujours un chevalier avec quelques caractéristiques