Mythes comparés
Inondations, sècheresses, tremblements de terre, sont ainsi à l’origine de bien des mythes…
En même temps, ces mythes tentaient de définir la place de l’homme dans la dimension « cosmique » où il tente de se situer, du fait même de la conscience qu’il a de sa mort, de la brièveté de sa vie terrestre, et de l’espérance qu’il a d’une poursuite, à un autre niveau, de cette vie qui lui apparaîtrait dépourvue de sens, si elle se résumait à un « passage » sans avenir autre… Ce simple passage qu’il admet parfois pourtant pour d’autres « vies », végétales ou animales par exemple…
De ce fait, les mythes, s’ils peuvent être « lus » à un premier degré, nécessitent d’être étudiés également à un niveau supérieur d’interprétation…
A ce degré d’Apprenti, nous ne savons ni lire, ni écrire, nous ne savons qu’épeler. Aussi, nous nous contenterons, en une première approche, à épeler les symboles contenu dans trois mythes, liés à des pensées philosophiques et religieuses différentes, établis pour des hommes qui avaient des conceptions du temps et de l’espace différentes, mais qui néanmoins présentent des points de similitude… troublants…
Ce sont trois mythes qui évoquent la mort et la résurrection. Le premier, mythe de l’Egypte Pharaonique, concerne la mort d’Osiris . Le second, mythe de la Grèce antique, est celui de l’enlèvement de Perséphone. Le troisième est celui de la Passion du Christ.
Origines
Ces trois personnages principaux sont d’origine divine : ils sont tous trois très proches parents de cette Entité Principielle qui