Médicaments des milliards d'euros gaspillés
L’auteur a voulu sensibiliser le lecteur d’emblée avec le titre « Médicaments : des milliards d’euros gaspillés »
Il présente le contexte par des données chiffrées afin d’entrainer l’adhésion du lecteur. Tout d’abord il présente les chiffres par personne ensuite il effectue une comparaison avec les pays européens. : »Chaque francais…….soit 40% de plus que les voisins européens »
Enfin, il termine la présentation par l’utilisation d’une phrase sans verbe où il souhaite étonner le lecteur et le sensibiliser d’avantage. « un record » Il dénonce ainsi l’utilisation abusive des traitements médicamenteux en France.
Il énumère les différents acteurs du système de santé en utilisant des conjonctions de coordinations « ni le patient, ni le pharmacien, ni le médecin « dans le but de démontrer que personne ne prête attention aux dépenses engendrées par les médicaments : »qui pourraient couter des milliards d’euros chaque année »
Marie Josée Nantel se réfère également aux propos de Patrice Devillers le président de l’uspo pour étayer sa thèse. « Au bout de quelques jours….parce qu’ils se croient guéris » Elle utilise également le verbe à forte connotation négative « déplore t’il » pour dénoncer la mauvaise utilisation des traitements.
Le Deuxième élément de réponse « au gaspillage » évoqué par l’auteur concerne le conditionnement. L’auteur s’appui à nouveau sur les données de Patrice Devillers pour dénoncer les laboratoires qui mettent à disposition des traitements mais en quantités inadaptées selon les besoins du patient.
Le journaliste commente les propos de Patrice devillers concernant la solution suivante « Le déconditionnement des médicaments serait une révolution en France » . Il s’agit d’une métaphore car Patrice devillers utilise aussi le mot révolution pour