Méthode socratiques
Question 1
1) Formulation de la question : Qu’est ce que la vertu ?
2) Socrate est un ignorant
« Eh bien moi aussi, Ménon, je suis dans le même cas. En cette matière, je partage la misère de mes concitoyens, et je me blâme moi-même de ne rien savoir, rien du tout, de la vertu; or si je ne sais pas ce qu’est la vertu, comment pourrais-je savoir quoi que ce soit d’elle? Te parait-il possible que, sans connaitre aucunement Ménon et ignorant qui il est, on sache de lui qu’il est beau, noble même, ou tout le contraire de cela ? »
3) « Et comme il existe une multitude d’autres vertus, on n’est donc pas embarrassé pour définir la vertu. Car on trouve une vertu pour chaque forme d’activité et pour chaque âge, et ce, pour chacun de nous, par rapport à chaque ouvrage que nous nous proposons. Je pense d’ailleurs que c’est pareil, Socrate, pour le vice aussi. »
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« Eh bien, il me semble, Socrate, que la vertu consiste, selon la formule du poète, « à se réjouir des belles choses et à être puissant ». Quant à moi, je déclare que la vertu, c’est le désir des belles choses avec le pouvoir de se les procurer. » 4) Après avoir interrogé Ménon à savoir qu’est qu’une abeille, Socrate répond : « Eh bien, c’est pareil aussi pour les vertus! Même s’il y en a beaucoup et de toutes sortes, elles possèdent du moins une seule forme caractéristique identique chez toutes sans exception, qui fait d’elles des vertus. Une telle forme caractéristique est ce qu’il faut bien avoir en vue pour répondre à qui demande de montrer ce en quoi consiste la vertu.
Aristote nous déclare :
Question 2
1) Les gens qui sont très riche ne savent pas obéir aux autorités, car ils ne l’ont jamais apprit. Lorsqu’il était jeune leurs désirs étaient des ordres. Ils n’ont jamais eu l’habitude d’obéir aux ordres parce qu’ils n’en n’ont jamais reçus. De plus, lorsque les riches sont aux pouvoirs, ils n’établissent pas un gouvernement fondé