Nana, de emile zola.
" Nana c'est la pourriture d'en bas, l'Assommoir se redressant et pourissant les classes d'en haut " , la " mouche d'or " vengeant, inconsciemment, " par son sexe seul " , son enfance et les siens, détruisant tout ce qu'elle approche : elle ruine et déshonore le comte de Vandeuvres, Georges Hugon et son frère Philippe, Hector de La Faloise, le comte Muffat, qui accepte les pires bassesses. Née l'année du coup d'État, mourant alors que retentissent les cris de " A Berlin ! A Berlin ! " , Nana est l'émanation et l'incarnation de la société du second Empire, folle de son or et de sa chair, corrompue, détraquée dans toutes ses classes ( la comtesse Muffat mène la même vie que Nana ) , roulant à la débâcle finale, l'horrible décomposition de la vérole ou les charniers de