Nature dans regain de jean giono
La nature dans ce roman entoure l’histoire, le contexte est rural et déjà dans la description du village d’Aubignane on décrit comment le village a descendu la colline et comment la terre s’est déplacé. Mais on doit souligner qu’il y a une double façon dont la nature intervient au cour de l’histoire : il y a l’admiration pour la puissance des éléments, comme l’eau qui risque de tuer Panturle, et l’autre aspect, plus important encore, souligne l’étroit rapport amical entre l’homme et la nature. Ce rapport est typique de la vie dans ce petit village, on peut y penser avec l’activité de chasseur de Panturle, nourri par la nature, chauffé par elle-même, et aussi bien avec l’activité de Gaubert, un charretier, qui employait un trou fortuite au pieds d’un cyprès pour tremper les pièces de frêne et obtenir les meilleures charrues. De plus il y a un particulier élément qui réagit avec Arsule : le vent. En effet dans la présentation de ce personnage et pendant le voyage qui emmènera cette femme chez Panturle, le vent berse ce personnage, et il lui fait éprouver des sensation jolies, positives, et qui lui donnent la sensation d’une caresse sur tout son corps, une sorte d’excitation sexuelle qui se reflet dans ses comportement envers les autres personnages, car la femme devienne plus gentille. Le vent est meme un soulagement contre le chaleur du à la fatigue. Un autre soulagement est représenté par le feu, qui va rechauffer les personnages quand il doivent faire face à l’eau, le feu qui chauffe Panturle presque mort, le feu qui chauffe Gédémus pendant qu’il pleut et il fait froid. Puis le feu chauffe pendant l’hiver et il est fréquente l’image du bois dans le roman : Panturle qui coupe les arbres et Arsule qui suggère une meilleur position pour placer le bois coupé. Le rapport le plus étroit avec la nature, on peut le voir quand Panturle choisit de cultiver un peu de blé, et toute sa fatigue est récompensé par la nature avec le meilleur blé qui devient