Nature de l'homme
Selon Rousseau, à l’état de nature les hommes étaient heureux et la vie était plus simple. Ils étaient libres et vivaient sainement tant que chacun d’eux pouvaient subvenir à leurs propres besoins. Il est d’avis que l’arrivé de la société est ce qui transforme le travail en corvée, puisque selon lui, des lors que l’homme apprend à avoir recourt à l’autre, l’égalité disparait. Puisqu’il croit que l’homme est naturellement paresseux, il présume que la société amène le travail forcé. Ainsi, l’homme travaillerait plus que pour subvenir à ses besoins immédiats comme manger et dormir. Ils deviennent alors inquiet et prévoyant et travaillent plus que ce que leur nature les incitent à faire, rendant l’atteinte du bonheur plus complexe et difficile et limitant les rapports entre homme à « à quoi peut-il me servir? ». Rousseau a toujours eu une façon plus pessimiste d’envisager l’homme dans la civilisation, comme la façon dont ils voient la transformation de l’amour de soi, l’autoprotection, en l’amour propre, sentiment plus égoïste. Cependant, la société n’a peut-être pas seulement des points négatifs sur l’homme. Est-ce que l’homme qui devient civilisé perd automatiquement toute trace de