Nature de l'homme

677 mots 3 pages
L’avis des philosophes est souvent différente sur la vie en société et tout ce qui si rapporte. Considérant le fait que plusieurs d’entre eux, comme Jean-Jacques Rousseau et Karl Marx, ont vécu à près d’un siècle de différence, il est évident que leurs logiques diffèrent. Si l’on prend par exemple la question du travail en société, leur philosophie est contradictoire. Rousseau croit que le travail n’est pas bénéfique à l’homme puisqu’à l’état de nature il est paresseux et qu’en société, le travail amène la fin de l’égalité et devient nécessaire. Marx, quand à lui, croit que le travail apporte le bienfait de la production et le développement de lui-même dans sa création. Dans ce travail, je vais me pencher sur la question suivante : « Est-ce que le travail est bénéfique pour l’homme? »

Selon Rousseau, à l’état de nature les hommes étaient heureux et la vie était plus simple. Ils étaient libres et vivaient sainement tant que chacun d’eux pouvaient subvenir à leurs propres besoins. Il est d’avis que l’arrivé de la société est ce qui transforme le travail en corvée, puisque selon lui, des lors que l’homme apprend à avoir recourt à l’autre, l’égalité disparait. Puisqu’il croit que l’homme est naturellement paresseux, il présume que la société amène le travail forcé. Ainsi, l’homme travaillerait plus que pour subvenir à ses besoins immédiats comme manger et dormir. Ils deviennent alors inquiet et prévoyant et travaillent plus que ce que leur nature les incitent à faire, rendant l’atteinte du bonheur plus complexe et difficile et limitant les rapports entre homme à « à quoi peut-il me servir? ». Rousseau a toujours eu une façon plus pessimiste d’envisager l’homme dans la civilisation, comme la façon dont ils voient la transformation de l’amour de soi, l’autoprotection, en l’amour propre, sentiment plus égoïste. Cependant, la société n’a peut-être pas seulement des points négatifs sur l’homme. Est-ce que l’homme qui devient civilisé perd automatiquement toute trace de

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