Nilf
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Le cycle de l'eau (ou cycle hydrologique) est un modèle représentant les flux entre les grands réservoirs d'eau liquide, solide ou gazeuse, sur Terre : les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes souterraines, les glaciers. Le « moteur » de ce cycle est l'énergie solaire qui, en favorisant l'évaporation de l'eau, entraîne tous les autres échanges.
La science qui étudie le cycle de l’eau est l’hydrologie. Elle peut se décomposer en hydrogéologie (hydrologie souterraine), hydrologie de surface, hydraulique urbaine, etc.
Le cycle naturel de l’eau.
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Les différents réservoirs [modifier]
Volume d'eau contenu dans les différents réservoirs[1]
Réservoirs Volume
(106 km³) Pourcentage du total
Océans
1370 97,25
Calottes glaciaires & glaciers
29 2,05
Eau souterraine
9,5 0,68
Lacs
0,125 0,01
Humidité des sols
0,065 0,005
Atmosphère
0,013 0,001
Fleuves et rivières 0,0017 0,0001
Biosphère
0,0006 0,00004
• L'eau salée liquide des océans : c'est le réservoir le plus important.
• l'eau douce liquide : cours d'eau, lacs, étangs d'eau douce, marais.
• Les glaciers : le flux peut être stocké pour un temps sous forme de neige ou de glace. Leur fonte est plus ou moins importante suivant les variations du climat.
• l'eau atmosphérique (vapeur)
Les flux entre réservoirs [modifier]
L'évaporation [modifier]
Les enveloppes terrestres contiennent de l’eau, en quantités variables : beaucoup au sein de l’hydrosphère, moins dans la lithosphère et en très faible quantité dans l’atmosphère.
L’eau de l’hydrosphère, chauffée par le rayonnement solaire, s’évapore. Cette eau rejoint alors l’atmosphère sous forme de vapeur d’eau. Cette évaporation dépend du vent,