Je ne savais pas que tu n'étais pas qu'un rêve …

La plage, la mer.

Tout ce sable fin à perte de vue, c'est indescriptible. Le vent doux et fort à la fois de la côte, une odeur iodée, salée. Et la connerie de ces deux imbéciles de Chocolove et d'Horohoro … ils me font pitié vraiment. Ils ne savent que s'éclabousser et se noyer mutuellement. Ils ont conscience que c'est un paradis ici ? Non je ne crois pas apparemment. Le soleil commence à se coucher, le ciel rougit.

Heeyy ! Ren ! Tu viens pas te baigner avec nous ? Hurla Horo. Nan, t'as pollué cette eau de t'as débilitée. Je ne peux plus m'y baigner maintenant, répondit Ren au tac-au-tac. Mais aller quoi ! Elle est super bonne ! Rétorqua Yoh. Je ne veux pas me mouiller, on va bientôt rentrer en plus, alors se mouiller juste pour aller se sécher ensuite ne sert à rien, idiots. Lança Ren têtu. C'est pas faut dans un sens, d'ailleurs je crois que c'est l'heure justement. Horohoro !!!! Chocolove !!!! On doit rentrer les gars ! Quoi déjà !? demanda Horo super déçu. Ben oui … Bon, ben, quand faut y aller, faut y aller, se résigna-t-il finalement. T'as rien de plus intelligent à dire bouffon ? Demanda Ren. Quoi ? Tu me cherches ? S'énerva le bleu. Hé les amis ! Je vous présente Bernard et Bernard junior ! Interrompit Chocolove, en tendant vers ses compagnons deux petits Bernard l’ermite.

Ren et Horo l'envoyèrent voler à plusieurs mètres deux, tandis que Yoh rigolait de la blague de Choco', qu'il trouvait pour une fois pas si mal que ça. Ils rentrèrent finalement se changer. Une fois de plus, dans les cabines, les garçons se bagarrèrent en démolissant à peu près la moitié de la pièce. Ayant perdu du temps en chamailleries, Ren et Horohoro ne furent pas prêt en même temps que Yoh et Chocolove et durent ranger la cabine. Il se retrouvèrent seuls à devoir s'entre aider.

Ren, passe moi la chaise à coté stp. Viens la