est-il vrai d’affirmer que, dans le survenant, le bonheur réside dans le nomadisme?

Pour commencer, le bonheur réside dans le nomadisme puisque lorsque l’on vit une vie sédentaire les mauvais souvenirs nous entourent. Comme le ressent Didace dans cette citation : « Depuis la mort de Mathilde, sa femme, non seulement Didace recherchait les occasions de s’éloigner de la maison, mais il la fuyait, comme si le sol lui eût brulé les pieds, comme si les choses familières, jadis hors de prix, à ses yeux, s’y fussent ternies et n’eussent plus porté leur valeurs.» (p. 27) Donc, être nomade permet d’aider à oublier de mauvais souvenirs. Puisque, lorsque l’on reste au même endroit tout ce qui nous entour ne rappelle des choses que nous avons vécue. Dans cette citation Didace n’est plus heureux chez lui, puisque tout lui rappelle sa défunte.Tandis que d’être nomade permet d’oublié un peu de ce malheur. Le bonheur se trouve aussi dans le nomadisme, puisque le nomade est libre des ses propres choix et d’aller la ou il veut. Comme Venant l’explique « De mon bord, si j’aime pas l’ordinaire pas même le temps de changer de hardes et je pars.» (p.43) Un nomade fait ses propres choix. Il est libre d’aller ou il le souhaite et il n’a pas d’attachement aux villes qu’il visite. De plus, le nomade choisit lui même ou il reste et pour combien de temps. Dès que quelque chose lui déplait, il n’a qu’a partir dans un nouvel endroit, pour une nouvelle aventure. Aussi, le nomade puisqu’il voyage beaucoup, a beaucoup de connaissances d’autre pays. Comme Venant dans cette citation « Il cherchait. Il repassait place après place. Il cherchait encore, dans le vaste monde, nommant Beauchemin des villes, des pays aux noms étrangers qui leur étaient entièrement indifférents: le Chenal du Moine leur suffisait.» (p.44-45) Visiter plusieurs villes et pays permet d’agrandir sa connaissance. Puisque le nomade connaît des personnes de différentes culture. Chaque personne a une nouvelle chose à apprendre