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Nous comparerons les chapitres III « Comment Candide se sauva d’entre les Bulgares, et ce qu’il devint » et le chapitre VI « Comment on fit un bel auto-da-fé pour empêcher les tremblements de terre, et comment Candide fut fessé », les désastres, l’ironie et même une critique sur Leibniz sont en commun dans ces deux chapitres.
Problématique : Comment les chapitres III et VI du livre « Candide » se ressemblent-ils ?
I) Guerre et Désastre.
II) L’ironie.
III) La critique de l’optimisme de Leibniz.
Dans le chapitre III de Candide, Voltaire décrit la guerre d’une façon très sanglante et provocante en d’écrivant chaque scène du plus loin au plus près, « Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté », puis « La mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface », on note le « qui en infectaient la surface » on considère ces ‘coquins’ comme une maladie infectieuse dont on est content de s’en débarrasser alors qu’ils sacrifient leurs vies pour la victoire, ou la défaite. « La baïonnette fut aussi la raison suffisante de quelques milliers d’hommes » Voltaire