Travail d’écriture sur « Nous, les Nègres »

Première partie: L’extrait « On ne peut pas prendre un Noir qui se fait mordre par des chiens et l’accuser de prêcher la violence quand il essaie de se défendre contre les morsures du chien. Remarquez, les gens qui lâchent les chiens contre les Noirs, on ne les accuse jamais de violence, on ne les accuse jamais de haine. »
(Extrait relevé page 64, ligne13 )

Mon commentaire Cet extrait est un bel exemple d’injustice raciale car il montre que le poids d’un acte de violence commis par un Blanc n’a pas la même valeur que celui commis par un Noir. Par ailleurs on peut faire référence à l’actualité avec le conflit israélo palestinien, lorsque l’armée israelienne agit contre le peuple palestinien, l’état n’en parle pas. A l’inverse de cela, lorsque le peuple palestinien réagit aux attaques de l’armée israelienne, on en entend parler or qu’ils ne font que se défendre. Pour conclure, je terminerai en disant que le gouvernement entend que ce qu’il ne veut entendre.

Deuxième partie : L’argumentation Selon moi, Martin Luther King est celui qui a adopté la stratégie la plus efficace. D’ailleurs je vais vous le prouver par différents arguments : premièrement, grâce l’entrainement à la non-violence, deuxièmement, grâce à la résistance non-violente et dernièrement grâce à sa vision philosophique. Tout d’abord, selon James Baldwin, la résistance face aux actes violents des oppresseurs ne durera pas puisque tout être humain à besoin un jour ou l’autre de sortir de ses gonds. Mais King refuse totalement cette idée car il enseigne l’aspect théorique de la non-violence mais aussi l’application pratique. Et cette application consiste à suivre des cours où ils apprennent à être malmené pour résister aux manifestations. D’ailleurs un des premiers principes