CERAN
MATHIEU
Français

Je me réveille en sursaut ! mon crane me fait souffrir, et mes yeux ont du mal à appréhender la lumière. Puis, un cri déchire la nuit : ma sœur s'est réveillée à son tour.
Des cauchemars pleins les veines et les joues inondées, elle se jette dans mes bras.
Elle est tramble, et sa peau frissonnante, au contact de la mienne, me fait réaliser ma propre peur.
Je lève les yeux a ma fenêtre, et j'aperçois, à travers des nuages, une lune claire et eteincellente.
Puis une ombre surgit et ouvra la fenêtre d’un seul coup.
« C'est qui ? » hoquète Léa ma petite soeur.
Figé sur le coup, je me mis a frissoné de terreur...

Je vis une femme maigre, lent, lucide, une femme qui semblent faits pour être toujours en contact avec les rochers et tou droit venu du Pakistan. Elle à un gros nez, un gros front cachet dérriere son bandana blanc, de petits yeux couleur rouge sang, qui peuvent détecter les profonds secrets de la roche.
Elle offre, au premier aspect, une vague ressemblance avec une terre déséché par le soleil.
Ses dents sont noires et rares, sa bouche est si ridée que ces seules paroles sont des cries.
Elle était vétu d’un costume en tisse rouge, et ses jambes était en sable et sous chaqu’un de ses pas un tas de sable se former.
Et la la femme nous dits d’une vois térrifiente et aigue.
-Je suis la magicienne du someil, et venu vous lancé un sort pour vous endormirs dans un très long sommeil !

La magicienne commence a tourner très vite sur elle-même et agitant ses bras comme une hirondelle et prononca des formmules magiques ou des enchantements qui ont un pouvoir fatal sur ma petite sœur.
Elle me sérrat fort la main pis d’un coup un relachement net, comme si elle s’été évanoui.

Bougbé et térrifié, je regarda la femme et la un soufle froid me glacia le sang et la magicienne avait disparu et laissan derriere elle un oiseau.
Je pris ma sœur dans mes bras en essayant