Nouvelle fantastique
En marchant, je réfléchis . Était-ce mes hallucinations qui refaisaient surfaces ? Je rentrai à la maison et pendant mon trajet, me posais un tas de questions : que m’arrivait-il ? Redevenais-je comme avant mon admission à l’asile ? Devais-je alerter mon médecin de mon état ? Je n’en fis rien . J’étais ivre et me promener me faisait du bien ! Après j’aurais les idées plus claires .
Arrivé chez moi je m’allongeai sur le lit et me remis a penser mais l’angoisse me saisi de nouveau lorsque je me rappelai de cet hôpital psychiatrique où j’avais été enfermé , dans cette pièce sombre , humide et sale . Cette pièce où était installé un ridicule lit de camp où lorsque je bougeai , les lattes grinçaient . Parfois le lit se repliait sur moi ! Et cette autre salle vide où