On the world
Considéré[Par qui ?] comme à la croisée du roman historique et du thriller, avec des éléments de langage relevant de la physique, le récit interprète certaines découvertes scientifiques, notamment dans le domaine de la physique quantique, de manière à répondre à des questions existentielles.
Le roman a été publié en 17 langues et écoulé à plus de 2 millions d'exemplaires (selon l'éditeur). Au 26 juillet 2012, il a atteint la 12e place des ventes en France selon Livres Hebdo[1].
Tomas Noronha, professeur d'histoire spécialiste en cryptologie à l'université de Coimbra au Portugal, est sollicité par le Ministère de la Science iranien pour décrypter un manuscrit inédit d'Albert Einstein. La CIA est mise au courant de l'affaire et n'hésite pas à faire du professeur Noronha un agent double. Parallèlement, un des collègues de son père, physicien et ancien collaborateur d'Einstein, disparaît mystérieusement.
C'est le début d'un récit qui va emmener le lecteur des rues de Téhéran au QG de la CIA, en passant par un monastère bouddhiste niché au cœur des montagnes tibétaines, à la rencontre des plus récentes théories de physique quantique et des textes fondamentaux de la sagesse universelle.
Metropolis est une mégalopole où résident en haut les familles dirigeantes, dans l'oisiveté, le luxe et le divertissement, et en bas les travailleurs font fonctionner la ville.
En 2006, le clonage humain est un sujet d’actualité, les technologies de l’information et des communications ont envahi la vie moderne et l’homme est assujetti aux machines qu’il crée. Voilà le monde moderne, celui dans lequel nous vivons actuellement et qui a fait l’objet de spéculations tant en littérature qu’au cinéma. Jules Verne, H. G. Wells, William Gibson, George Méliès, Stanley Kubrick et Ridley Scott ne sont