De nos jours, avec la technologie aussi avancée, beaucoup de choses peuvent être crées ou modifiées sans que l’on s’en rend compte. Certains produits sont modifiés par ajout de substances, mais il y en a d’autres qui sont modifiés par ajout de gènes d’un autre organisme. C’est ce qu’on appelle des organismes génétiquement modifiés. Comme ils ont des côtés positifs et négatifs, les OGM sont sujets à beaucoup de débats.
Dans ce texte, je parlerais des OGM dans le domaine de l’agriculture. Mais avant ça, je vais commencer par vous donner une brève explication de ce qu’est un OGM. Un OGM est un organisme vivant dont on a modifié le patrimoine génétique. On a introduit dans le chromosome de cet organisme le gène d’un autre organisme, ce qui est appelé la transgénèse.1
Le premier aspect de mon texte traitera sur la façon que la science est appliquée et utilisée pour faire des manipulations génétiques dans le domaine de l’agriculture. D’abord, le fait d’introduire un gène étranger à l’intérieur du génome d’un autre organisme pour l’obtention d’un organisme génétiquement modifié est appelé la transgénèse. La première étape de la transgénèse est d’identifier le gène qu’on veut transférer, qui est appelé le gène d’intérêt. Ensuite, ce gène devra être isolé. Maintenant, il faut procéder à la fabrication d’une construction génétique. Cette construction est composée du gène d’intérêt, de séquences de régulation utiles à son expression dans l’organisme receveur et de gène marqueur, qui est un gène de résistance à un antibiotique ou à un herbicide. Après, cette construction va être multipliée pour qu’il y en ait en quantité suffisante. Pour ce faire, la construction sera introduite dans une bactérie qui va se reproduire. Cette étape est appelée le clonage de gêne. Le tout sera ensuite transféré dans un plasmide (fragment d’ADN qu’on peut retrouver dans le cytoplasme des bactéries ou des levures), qui sera à son tour introduit dans le génome de la cellule par un des deux