Origine(s) de la croyance

475 mots 2 pages
La croyance semble être un mécanisme étroitement lié à la conservation des mécanismes de survie, s'il n'en est pas la pierre angulaire.[réf. nécessaire] La croyance est le « méta-schème » validant ou invalidant les autres schèmes qui composent nos modes de perception, de pensée et d'action en tant qu'être vivant[réf. nécessaire] et désirant le rester et transmettre cette vie. C'est en fait la forme conceptualisée (comme le sommet d'un iceberg) de ce mécanisme de validation complexe qui semble autant faire intervenir des modes physiologiques, biomécaniques, sensoriels, émotionnels qu'intellectuels. C'est une des facettes du censeur qui va enclencher la mise en action de schèmes en réponse à une situation et informé par un vérificateur, sera lié au classement de chaque schème selon son efficacité relative.[réf. nécessaire]
Mais c'est aussi celui qui empêche la rupture en cas de situation paradoxale : quand aucune réponse ne peut être mise en œuvre, la croyance prend un relais inattendu. C'est là que l'on trouve les mythes. Ils sont une accommodation d'un réel relatif et incertain, inexplicable. Ils sont une façon d'expliquer la réalité en mode économique et permettant d'arranger une situation paradoxale (le cerveau n'ayant pas reçu les informations sensorielles permettant la conceptualisation ou que le résultat obtenu n'est pas du tout celui attendu).[réf. nécessaire]
L'activation sous forme de mythes vient du fait que nous puisons dans notre histoire individuelle un ensemble de données dont la relative proximité avec la situation paradoxale permet de résoudre temporairement cette situation cognitive inconfortable.[réf. nécessaire]
Et c'est, quelle que soit la forme que prend le mythe, notre capacité à croire en ce(s) mythe(s) qui va nous soulager d'une situation inconfortable. Par exemple le mythe de La Création permet de résoudre le problème suivant : l'intelligence consistant en la capacité non seulement de concevoir des concepts mais de les relier entre eux,

en relation

  • Travail synthèse sur pourquoi j'ai mangé mon père
    1112 mots | 5 pages
  • Applications
    331 mots | 2 pages
  • Nos croyances accréditent elles nos dérives ?
    4413 mots | 18 pages
  • Reposable de nos croyances
    2387 mots | 10 pages
  • Synth Se Culture G
    394 mots | 2 pages
  • LA LIBERTE PAR KANT
    802 mots | 4 pages
  • La creation du monde
    925 mots | 4 pages
  • Commentaire de philo, bergson
    1741 mots | 7 pages
  • Faut-il tolérer toutes les idées?
    802 mots | 4 pages
  • Corpus: conception de la vie dans une fin de roman.
    292 mots | 2 pages
  • lecture analytique les caractère de j. de la Bruyère
    1352 mots | 6 pages
  • Dom juan
    1690 mots | 7 pages
  • Comptabilité general
    6082 mots | 25 pages
  • L'homme a-t-il besoin de croyances religieuses ?
    1665 mots | 7 pages
  • Est-ce que c'est parce qu'ils sont ignorants que les hommes sont croyants ?
    1560 mots | 7 pages