En 1948, l’Angleterre donna aux Juifs une terre pour qu’ils puissent enfin se sentir chez eux, pour les compenser, si tel est le terme, de ce qui leur ait arrivé en Allemagne face au IIIe Reich. Pour se faire, ils prirent une partie du territoire palestinien, se trouvant au Moyen-Orient, et ils se pressèrent pour leur donner ce territoire, car les Palestiniens n’avaient pas encore eu leur indépendance, ils leur étaient donc encore possible, pour les Anglais, de donner cette terre à qui que ce soit.
Cependant, ce ‘’cadeau’’ a su provoquer plusieurs problèmes non négligeable au niveau social et gouvernemental au sein de la communauté palestinienne et juive. Effectivement, les Juifs venus de l’Europe se sont imposés au territoire palestinien en une migration forte et continue forçant les Palestiniens à se déplacer. Voici en Image, ce que la migration juive fit sur la localisation des Palestiniens.

On peut effectivement voir un net recul de la population arabe, à mesure que la population juive augmente. Pour Cette énorme migration n’a eu d’autres effets que de forcer les Palestiniens à partir de leurs terres et trouver refuge ailleurs. Beaucoup d’entre eux se sont enfuit en Jordanie, au Liban et en Syrie. Ces pays arabes, voyant la grande masse de population palestinienne arriver sur leur territoire, les a placés dans des camps de réfugiés provisoirement en attendant leur retour en Palestine.
Pour accueillir les Palestiniens, la Jordanie a du faire beaucoup d’efforts pour les abrités dans des camps de réfugiés. Je me concentrerais ici sur la ville de Amman, qui recueille les trois camps de réfugiés les plus importants; le camp de Al-Hussein (1952), Al Wehdat (1955) et Al Baqua (1968). Ceux-ci sont inséparable l’un de l’autre car ils représentent les trois camps les plus importants de la capital, et traversent sensiblement les mêmes crises.
L’enjeu de cette migration à double sens (les Juifs en Palestine et les Palestiniens dans les pays arabes avoisinant) a