La participation des pays en développement à la gouvernance mondiale.

La mondialisation et la crise économique qui a secoué le monde ont ramené la notion de gouvernance mondiale au sein de tous les débats.

La gouvernance mondiale est apparu à partir des années 80 lorsque les relations internationales on touché leur plus haut point. Cette notion désigne le faite que les institutions internationales tels que l’OMC, les nations Unies et le FMI possèdent une légitimité d’actions et de droit sur les états, en effet à l’échelle mondiale cela correspondrait à un transfert de la légitimité du national à l’international.

Cependant un problème se pose, les pays développés on plus de pouvoir et participent plus à la prise de décision que les pays en développement nous pouvons constaté que toutes les instances internationales sont situées dans les pays du Nord économique. Il existe donc un réel problème de répartition du pouvoir dans cet gouvernance mondiale Nous verrons donc premièrement si une meilleure participation des pays en développement à la gouvernance mondiale est nécessaire puis nous verrons deuxièmement si les institutions internationales participant à la gouvernance mondiales ont les moyens de peser sur les décisions internes des pays auxquels une aide est apportée pour finir sur un dernier point très sensible concernant les aides attribuées aux pays les plus pauvres.

I) La participation des pays en développement à la gouvernance mondiale.

Les grands pays en développement tels que les BRICS ou les CIVET demandent une place accrue dans les instances internationales à fin de faire entendre leur voix. En effet les pays en développement commencent à se développer économiquement et prennent donc du poids au niveau des décisions internationales.
Durant les conférences de l’OMC qui est devenue un enjeu majeur dans les relations Nord-Sud on voit que les pays comme le Brésil, la Chine, ou l’Inde prennent